Lundi, 26 mai, 2025

Introduction

La publication de l'arrêté du 21 mai 2025 actualisant la liste des métiers en tension s'inscrit dans une dynamique qui dépasse le simple ajustement réglementaire. Elle constitue l'aboutissement d'une orientation politique amorcée dès 2021 et qui tend à recentrer l'immigration sur des logiques strictement économiques, voire utilitaristes. Ce tournant, combiné à l'introduction de l'article L. 435-4 du CESEDA, marque un infléchissement net vers une immigration professionnelle encadrée et conditionnée à des critères de rendement. Ce mouvement s'inscrit aussi dans un contexte global : vieillissement rapide des sociétés européennes, pénurie de main-d'œuvre dans des secteurs clés, et croissance démographique soutenue dans les pays du Sud, en particulier en Afrique.

L'objet du présent article est d'analyser les fondements, les implications et les tensions de cette réorientation, tout en interrogeant les effets concrets sur les parcours de vie des personnes étrangères concernées.

 

I. Une politique motivée par la transformation structurelle du marché du travail

A. La pénurie de main-d'œuvre comme justification économique

Depuis plusieurs années, la France est confrontée à une crise structurelle du recrutement dans certains secteurs clés de son économie. Cette situation touche de manière particulièrement aiguë les domaines de la restauration, du bâtiment, des services à la personne, du nettoyage et de l'agriculture, qui peinent à attirer et à fidéliser une main-d'œuvre nationale. Les causes sont connues : conditions de travail pénibles, horaires décalés, rémunération modeste, précarité contractuelle, absence de perspectives d'évolution. Autant de facteurs qui rendent ces métiers peu attractifs pour une large partie des actifs français.

Dans les faits, ces fonctions sont massivement occupées par des personnes étrangères, souvent en situation de grande vulnérabilité. Nombre d'entre elles exercent sans statut légal, parfois depuis plusieurs années, dans une forme d'invisibilité sociale et juridique. Et pourtant, leur rôle est essentiel : elles font tourner les cuisines, nettoient les écoles, s'occupent des personnes âgées, entretiennent les espaces publics, récoltent nos fruits et légumes. Ces travailleurs assurent la continuité de pans entiers de l'économie française, sans pour autant bénéficier de la reconnaissance institutionnelle qu'ils méritent.

Face à cette réalité, l'État a fini par adapter ses outils. Le nouvel arrêté du 21 mai 2025, qui actualise la liste des métiers en tension, marque une avancée significative. Pour la première fois, plusieurs professions jusque-là ignorées sont reconnues comme en tension et donc ouvertes au recrutement de ressortissants étrangers sans opposabilité de la situation de l'emploi. Parmi les ajouts majeurs : les cuisiniers, chefs cuisiniers, aides de cuisine, serveurs, aides à domicile, employés de ménage ou encore certains ouvriers du bâtiment. Cette extension vient répondre concrètement aux besoins exprimés depuis longtemps par les branches professionnelles, et aligne enfin le droit sur la réalité du marché du travail.

Le think tank Terra Nova rappelait en 2024 que la France devra accueillir plus 300 000 travailleurs étrangers par an pour maintenir son niveau d'activité, notamment en raison des départs massifs à la retraite et de la désaffection de la main-d'œuvre locale pour certains métiers dits « d'exécution ». Cette estimation est confirmée par les fédérations du BTP, de l'hôtellerie-restauration, de l'agriculture ou de l'aide à la personne, qui réclament depuis des années une politique migratoire plus souple, plus réaliste, plus adaptée aux besoins opérationnels des employeurs.

 

B. Le déséquilibre démographique entre Europe et Afrique : entre vieillissement continental et vitalité démographique

Le contexte démographique européen joue un rôle central dans la refonte des politiques migratoires actuelles. En 2025, plus d'un tiers de la population française a plus de 60 ans, et cette proportion ne cesse de croître. Le phénomène est encore plus marqué dans les territoires ruraux et périphériques, où la densité de population active est en chute libre. Le ratio actif/retraité, indicateur clé de la soutenabilité des systèmes sociaux, connaît une dégradation continue. À l'échelle de l'Union européenne, ce déséquilibre structurel affecte tous les États membres, même ceux traditionnellement pourvoyeurs de main-d'œuvre, comme la Pologne ou la Roumanie.

Ce vieillissement généralisé entraîne une pression croissante sur les systèmes de retraite, les dépenses de santé, et les services d'aide à la personne, tout en réduisant la base contributive des régimes sociaux. Il impose donc, à court et moyen terme, une politique volontariste de renouvellement de la population active. Mais les gisements de main-d'œuvre au sein des sociétés européennes sont désormais limités.

Face à cette réalité, le regard se tourne naturellement vers l'extérieur, et en particulier vers l'Afrique subsaharienne, dont le profil démographique est à l'exact opposé. La région connaît une croissance démographique explosive : sa population devrait atteindre 2,5 milliards d'habitants d'ici 2050, contre 1,2 milliard en 2020. Surtout, plus de la moitié de cette population aura moins de 25 ans, ce qui signifie une entrée massive sur le marché du travail dans les décennies à venir, souvent sans débouchés suffisants dans les pays d'origine. Pour les pays d'accueil comme la France, cette dynamique est à la fois une menace perçue et une opportunité stratégique.

La liste des métiers en tension, la régularisation ciblée des travailleurs étrangers et les politiques d'immigration qualifiée peuvent ainsi être comprises comme les outils de pilotage d'une migration devenue structurellement nécessaire. Ce positionnement pragmatique, qui consiste à reconnaître et organiser l'apport démographique extérieur, permet de répondre à la fois au déficit de main-d'œuvre, à la crise des solidarités intergénérationnelles, et à la transition des modèles économiques.

Cependant, cette stratégie soulève aussi des enjeux éthiques et politiques : comment éviter que cette logique économique ne transforme les personnes migrantes en ressources interchangeables, privées de droits stables et de reconnaissance sociale ? Comment concilier utilité économique et dignité humaine, dans un contexte où l'immigration reste un sujet hautement politisé et instrumentalisé ?

 

II. Une immigration française reconfigurée par les besoins économiques

A. Les instruments juridiques d'un recentrage professionnel

Passeport talent (2016)

Vise à attirer les compétences hautement qualifiées, notamment dans les secteurs de la recherche, de l'innovation, de l'investissement et du numérique.

Réforme de l'autorisation de travail (2021)

Simplifie la procédure pour les employeurs, mais rend son obtention encore dépendante du métier exercé et de la tension du marché local.

Loi du 26 janvier 2024

Introduit l'article L. 435-4 du CESEDA, créant une voie exceptionnelle de régularisation pour les étrangers en situation irrégulière travaillant dans un métier en tension.

Arrêté du 21 mai 2025

Actualise la liste des métiers en tension, élargissant les possibilités d'accès au séjour pour les travailleurs dans la restauration, le bâtiment, les services à la personne, etc.

Depuis plusieurs décennies, la politique migratoire française connaît une évolution progressive mais structurée, visant à réorienter l'accueil des étrangers vers une logique d'utilité économique. Loin d'un dispositif unique ou brutal, c'est par étapes successives que le droit des étrangers a été remodelé pour privilégier une immigration professionnelle encadrée et sélective.

Cette succession d'instruments juridiques révèle une stratégie cohérente : celle de canaliser les flux migratoires vers les besoins de l'économie, en faisant de l'emploi un critère structurant du droit au séjour. La logique est claire : l'immigration professionnelle est désormais privilégiée, tant dans la sélection des entrants que dans les régularisations.

 

B. Une volonté politique de sélection et de fermeture ciblée

La circulaire Retailleau du 24 janvier 2025 constitue à ce titre une pièce maîtresse de la doctrine administrative contemporaine. Elle invite explicitement les préfets à limiter/ privilégier les admissions exceptionnelles au séjour pour motif professionnel aux seuls étrangers exerçant un métier figurant sur la liste des métiers en tension. Cette instruction, bien que non contraignante juridiquement, a une portée normative forte dans les pratiques préfectorales.

Cette ligne directrice est aujourd'hui clairement suivie par un grand nombre de préfectures, qui rejettent de plus en plus fréquemment les demandes d'admission exceptionnelle au séjour sur ce fondement. Le juge administratif lui-même, traditionnellement plus juste dans son appréciation, tend à s'aligner sur cette logique restrictive, en validant des refus motivés par l'absence de correspondance entre le poste occupé et un métier en tension.

Ce mouvement aboutit à une hiérarchisation rigide des parcours migratoires. Deux catégories d'immigration professionnelle sont désormais institutionnalisées :

Talents internationaux

Encadrés par le régime des passeports talents : scientifiques, ingénieurs, artistes, investisseurs, salariés qualifiés recrutés pour des fonctions stratégiques. Cette immigration est encouragée, valorisée, et présentée comme un atout pour la compétitivité française.

Main-d'œuvre "essentielle"

Concentrée dans les secteurs en tension : cuisine, bâtiment, nettoyage, aide à domicile, travaux agricoles. Ces travailleurs, souvent peu qualifiés, parfois sans-papiers, sont désormais les seuls à pouvoir bénéficier d'une régularisation au titre de l'utilité économique immédiate.

Entre ces deux pôles, il ne reste que très peu d'espace pour les autres étrangers. Ceux qui travaillent dans des secteurs non reconnus comme tendus, même de manière stable, se heurtent à une invisibilité juridique croissante. Leur présence, leur insertion, leur contribution, même réelle, ne suffisent plus. Le séjour, hier fondé sur des critères mixtes (travail, famille, durée de présence, intégration), devient aujourd'hui strictement conditionné à la productivité dans des métiers définis par décret.

Cette évolution traduit un changement de paradigme : l'immigration n'est plus pensée comme un processus d'intégration sociale progressive, mais comme un outil de gestion économique rationalisée, fondé sur la réponse à un besoin identifié du marché du travail.

À travers cette politique de filtrage par le métier, c'est toute une partie de la population étrangère qui se voit exclue des circuits de régularisation, malgré des années de travail, une vie de famille en France, ou un parcours d'intégration exemplaire. Un encadrement qui, s'il est assumé politiquement, soulève des questions d'équité, de cohésion sociale, et de respect du principe de proportionnalité.

 

C. Une stratégie de durcissement masquée par une logique économique

Filtrage par les métiers en tension

Un outil de tri supplémentaire qui permet de canaliser l'immigration vers des profils strictement définis.

Contexte politique tendu

Montée de l'extrême droite en France et en Europe poussant les gouvernements à adopter des politiques migratoires de plus en plus restrictives.

Paradoxe économique

Une économie qui, malgré la volonté politique de fermer les frontières, dépend largement d'une main-d'œuvre étrangère.

Parallèlement, cette logique de filtrage par les métiers dits en tension s'inscrit dans un cadre plus large de durcissement de la politique migratoire française. La publication d'une liste officielle de ces métiers pourrait, à première vue, être interprétée comme une ouverture ou un assouplissement en faveur d'une régularisation pragmatique. En réalité, il s'agit d'un outil de tri supplémentaire, qui permet au gouvernement de canaliser l'immigration vers des profils strictement définis, tout en resserrant l'étau sur l'ensemble des autres.

Ce durcissement s'inscrit dans un contexte politique et idéologique marqué par la montée de l'extrême droite en France et en Europe. La pression électorale exercée par ces courants pousse les gouvernements à adopter des politiques migratoires de plus en plus restrictives. La priorité affichée est désormais la maîtrise des flux, la limitation des régularisations, et l'exécution accrue des obligations de quitter le territoire français (OQTF), dans une logique de fermeté renforcée.

Mais cette stratégie se heurte à un paradoxe de plus en plus visible : celui d'une économie qui, malgré la volonté politique de fermer les frontières, dépend largement d'une main-d'œuvre étrangère pour faire fonctionner certains secteurs clés. La France, comme de nombreux autres pays européens, se trouve donc dans une forme de tiraillement structurel. D'un côté, une volonté affirmée de contrôle, de limitation, voire de rejet. De l'autre, un besoin urgent et réel de travailleurs, notamment dans des domaines où la main-d'œuvre locale fait défaut. Cette tension permanente entre sécurité, opinion publique et impératifs économiques confère à la politique migratoire française un caractère profondément ambivalent. Elle devient le reflet d'un malaise plus global, d'une sorte de paranoïa institutionnelle, où chaque ouverture apparente cache en réalité une volonté de reprise en main. La régularisation par le travail, encadrée par la liste des métiers en tension, n'échappe pas à cette logique : elle n'est pas une brèche dans la forteresse, mais un sas minutieusement verrouillé.

 

III. L'urgence de moderniser l'accès au séjour pour les travailleurs étrangers

Liste des métiers en tension incomplète

Bien qu'élargie, elle omet encore des filières essentielles comme le transport routier, les plateformes de livraison, la logistique, ou les agents de sécurité.

Lourdeurs administratives

Procédures trop longues, complexes et aléatoires, avec des délais pouvant excéder plusieurs mois, voire plus d'un an.

Introduction de salariés étrangers complexe

Procédures lourdes, mal coordonnées et peu attractives pour les employeurs, freinant le recrutement international.

Autorisations de travail opaques

Circuits parfois opaques, avec des demandes multiples de pièces justificatives et des délais variables selon les départements.

Si la France assume désormais un choix stratégique clair en faveur de l'immigration professionnelle, fondé sur l'attractivité des talents et le ciblage des métiers en tension, cette orientation nécessite encore de profondes améliorations pour être crédible, opérationnelle et équitable.

Tout d'abord, la liste des métiers en tension, récemment actualisée par l'arrêté du 21 mai 2025, bien qu'indéniablement plus large que celle de 2021, reste incomplète. Elle intègre à juste titre plusieurs secteurs en grande difficulté de recrutement, tels que l'hôtellerie-restauration, le bâtiment ou les services à la personne, mais elle omet encore des filières essentielles, qui dépendent elles aussi de l'apport de travailleurs étrangers. C'est notamment le cas du secteur du transport routier, des plateformes de livraison, de la logistique, ou encore des agents de sécurité, où la pénurie de main-d'œuvre est pourtant bien documentée. En se concentrant sur une nomenclature restrictive, le dispositif laisse de côté des professions dans lesquelles les étrangers sont déjà surreprésentés en pratique, souvent dans la précarité ou le travail dissimulé. Une refonte plus exhaustive de cette liste, fondée sur une concertation approfondie avec les branches professionnelles, les collectivités et les acteurs du terrain, serait donc indispensable.

Au-delà de cette question de contenu, c'est l'ensemble de la chaîne administrative du séjour et du travail en France qui souffre de lourdeurs systémiques. Les procédures de demande de titre de séjour sont trop longues, complexes, et aléatoires, tant pour les étrangers présents sur le territoire que pour les employeurs. Le délai moyen pour l'instruction d'un dossier peut excéder plusieurs mois, voire plus d'un an, avec des retards massifs, des rendez-vous introuvables, et des plateformes numériques peu fonctionnelles, notamment sur l'ANEF.

De plus, les procédures d'introduction de salariés étrangers depuis l'étranger qui impliquent un dépôt de demande de visa long séjour, un traitement par les plateformes, puis un passage par les consulats — sont lourdes, mal coordonnées, et peu attractives pour les employeurs.

 

La charge administrative, le manque de lisibilité des critères et la difficulté d'anticipation des délais freinent la volonté des entreprises d'investir dans le recrutement international, même dans des secteurs en tension.

La délivrance des autorisations de travail, quant à elle, reste soumise à des circuits parfois opaques, avec des demandes multiples de pièces justificatives, des délais qui varient d'un département à l'autre, et une absence de standardisation des pratiques. Cela compromet non seulement la prévisibilité juridique, mais aussi la sécurité du projet professionnel des étrangers concernés.

Pour que l'ambition affichée de la France en matière d'immigration économique prenne pleinement effet, il est donc impératif de réformer ces circuits : en simplifiant les procédures, en raccourcissant les délais, en professionnalisant les guichets administratifs, et en mettant en place des voies de traitement accéléré pour les métiers reconnus comme en tension. Cette efficacité procédurale n'est pas une simple question de confort administratif : elle conditionne la crédibilité du modèle migratoire français, et plus largement, sa capacité à répondre de manière cohérente aux défis démographiques et économiques des décennies à venir.

Conclusion

Derrière les textes juridiques, les circulaires, les arrêtés et les tableaux codifiés de métiers en tension, il y a des réalités que les normes ne disent pas. Des vies humaines, souvent silencieuses, parfois invisibles, qui portent pourtant une partie de l'économie française à bout de bras.

Il y a cet ouvrier qui travaille sur les chantiers depuis dix ans, mais dont le métier ne figure pas sur la liste. Cette aide à domicile qui veille chaque nuit sur une personne âgée, mais dont le titre de séjour reste en suspens. Ce serveur qui a traversé des années de précarité, sans jamais cesser de travailler, et qui attend, sans réponse, que son parcours soit enfin reconnu. Il y a aussi ces employeurs qui peinent à recruter, à comprendre les démarches, à faire valoir la réalité du terrain face à une administration figée.

En choisissant de recentrer l'immigration autour du travail et de l'utilité économique, la France assume un virage politique clair. Mais ce choix, pour être juste, suppose une exigence de cohérence, de transparence et surtout d'humanité. Il ne peut pas se réduire à une logique de tri technique ou à une gestion abstraite des flux. Il doit reconnaître, nommer, et protéger les femmes et les hommes qui, bien souvent dans l'ombre, participent à la vie collective, à la cohésion sociale et à la continuité des services essentiels.

La migration ne peut être une variable d'ajustement. Elle est un fait social, humain, profondément ancré dans notre réalité démographique et économique. Le droit ne peut l'encadrer sans tenir compte de ses dimensions humaines. Il doit offrir des voies lisibles, rapides, équitables. Il doit sécuriser, et non dissuader. Si la France veut tenir sa promesse d'une immigration choisie et utile, elle ne doit pas oublier que derrière chaque dossier, il y a une personne, une histoire, un espoir de reconnaissance.

 

Nos cabinets
 Bordeaux : 11 rue Galin, 33100
 Paris : 7/11 Place des Cinq Martyrs du Lycée Buffon, 75014
 Dakar : 14 rue Woro Fila

 Tél. : +33 9 85 40 18 64 | +221 77 173 69 05
 Mail : contact@legalfb-avocat.fr
 Site : www.fb-avocat.net

Contactez-nous

Partagez cette page sur

Nos points forts

Synergie

Synergie
Conscient de vos préoccupations en matière de qualité de main-d’œuvre, le cabinet vous assiste et vous conseille dans la procédure de recrutement de vos salariés étrangers

Confidentialité

Confidentialité
Le secret professionnel est un principe fondamental de la profession d'avocat. Le cabinet en assure le respect dans tous les échanges avec sa clientèle ainsi que dans le traitement de dossier

Réactivité

Réactivité
Elle s'inscrit dans le dynamisme de la relation client. Le cabinet vous assure une rapidité de réaction afin de répondre efficacement à vos attentes et questionnements

Écoute

Écoute
Elle est essentielle à la bonne compréhension des besoins du client et se traduit par une disponibilité constante de l'avocat

Compétences

Compétences
Le cabinet vous assure une compétence professionnelle solide dans ses domaines d'intervention afin de garantir l'efficacité de ses prestations

Conseil""

Conseil
L'avocat doit tenir un discours éclairé au client pour qu'il appréhende les enjeux et conséquences, et décide de manière efficiente des choix qui s'offrent à lui

Disponibilité

Disponibilité
Le cabinet a pour ambition d'être à l'écoute de ses clients et de leurs attentes, en mettant à leur disposition un accompagnement personnalisé et constant

Vos projets sont en effet
au centre de nos préoccupations